Toulouse

Publié le par Marina

Nous avons passé, sans sommeil, la nuit précédent notre départ à l'aéroport « Cheremetievo » de Moscou; le décollage de notre avion est à sept heures et quart et il n'y a pas la possibilité d'arriver autrement que dans la nuit.

 

 

A onze heures et quart (neuf et quart, heure française) c'est l'arrivée à l'aéroport de Paris.

 

 

J'ai trouvé rapidement le bus (N4) à destination de la gare Montparnasse.

 

 

Bien des choses, qui sont banales pour les "indigènes" m'ont beaucoup inquiété : pas de billets sans changement, le compostage des billets, trouver le quai (15 minutes de battement), le bon wagon (voiture). Un jeune homme, qui se trouvait à proximité et auquel j'ai demandé de m'expliquer ces choses m'a renseigné avec gentillesse et bonne volonté.

 

 

Le changement était à Poitiers. Les explications de français aimables (affables) ont atténué mon anxiété, mais pour un court répit. Le train avait du retard, la composition du train changée et seulement cinq minutes pour trouver notre voiture. Après cela j'ai retrouvé un peu de calme, mais je restais soucieuse de savoir comment je parlerai français avec l'excès de fatigue.

 

 

A 20h30 nous sommes arrivés a Toulouse. Mon ami, souriant nous attendait sur le quai de la gare. Nous nous sommes embrassés, alors j'ai compris que j'étais arrivée au bout de mes difficultés.

 

 

Le trajet, en voiture, de la gare jusqu'au domicile de mon ami est de 20 kilomètres, et c'est l'arrivée...

 

 

Nous avons croisé son épouse et son petit fils qui sortaient. Nous nous sommes embrassés.
A proros des bisous, en Russie la coutume est aussi d'en faire trois.

 

 

Publié dans Toulouse

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